Lady Arlette bouillonne, électrise et divague … Les doigts dans la prise, la tête dans les étoiles, elle nous invite dans ses mondes détonants, décalés et poétiques. On trouve chez elle des portraits de Brigitte Fontaine, Bashung ou encore Dominique A, du rock’n’roll dans des escaliers dérobés, des mots de la cave au grenier. Sa guitare électrique et la poésie en bandoulière, elle promène sa mélancolie farfelue et décalée partout où la création, l’engagement et le partage sont là : sur scène en electric Lady Land, en acoustique avec Princess No avec Stéphane Gouby , dans des spectacles Jeune Public (« XXXY tous z’égaux », avec Valérie Diome, Lisa Peyron et Sonia Leplat), dans des émissions littéraires foutrak’n’roll (Le LON « Le Laboratoire des Œuvres Nano Littéraires » avec Dominique Bonafini, Agathe Bloutin, Gilles Adam, Sonia Leplat et guLdeBoa). Elle rencontre des comédiens, des plasticiens, des photographes : elle est co-auteur avec la photographe Siska d’ A la dérobée, une autobiophotographie de la première robe de scène de Lady Arlette. De ce livre est né une lecture musicale mise en scène par Aurélie Dujarrier. AvecAntoine Josse, elle écrit Immobile Rodéo un ouvrage qui regroupe ses principaux textes de chansons illustrés par les peintures du plasticien. Après deux albums, « Je suis Madame » (2011), « Je suis Diva » (2013), elle sort un EP en mai 2016 « Les Beaux Vertiges » avec à la réalisation et aux arrangements Ludwig Brosch et une nouvelle équipe de musiciens l’accompagne : Paolo Consiglio (guitares), Frerericke Richard (violon), Thierry Dutru (batterie) et Clémence Dénoyer (basse).
Entre rodéo et reine déchue, explosion de carrosse et envies d’évasion, lignes de Verlaine sur les bras, Lady Arlette a et le long du cœur des mots et des sirènes.
« Une écriture farfelue et poétique (…) un univers atypique et pittoresque.» Bazart Mag
« Du Robe’n’Roll à fleur de slam ! » Centre de la Chanson